Les derniers compte-rendus

Casse-Noisette – Gilbert/Ganio (26 novembre)

Pour la première de Casse-Noisette, c’est à Dorothée Gilbert et Mathieu Ganio que revenait le redoutable honneur de raviver la magie de ce ballet féérique, emblématique de l’ère Noureev.

An American in Paris au Châtelet

La légendaire comédie musicale de Vincente Minnelli, an American in Paris, passe du grand écran à la scène pour la première fois, et c’est au Châtelet que cela se passe.

Le Bolchoï au cinéma – Légende d’Amour (26 octobre)

Au fil des retransmissions sur grand écran, on ne peut s’empêcher d’être bluffé par la capacité de la troupe du Bolchoï à faire rêver, émouvoir et éblouir. C’est encore le cas avec la reprise de Légende d’Amour (1961) de Youri Grigorovitch.

Soirée Lander – Forsythe (24 septembre)

Une programmation mixte pas forcément bien assortie pour la soirée de rentrée, marquée par la prise de rôle magistrale d’Héloïse Bourdon dans Etudes de Lander tandis que la mécanique Forsythe, même si très bien dansée, est un peu monotone.

Autour du ballet

Au fil du blog

Kiss Me Kate au Châtelet

Kiss Me Kate au Châtelet

Kiss Me Kate, l’un des fleurons du musical de Broadway de l’après-guerre, porté par les mélodies imparables de Cole Porter, est au Châtelet pour une dizaine de représentations.

Un musical pour les fêtes : Cats ou Singin’ In The Rain?

Un musical pour les fêtes : Cats ou Singin’ In The Rain?

A l’occasion des fêtes de fin d’année, deux « musicals » dans la grande tradition anglo-saxonne se disputent les faveurs du public parisien. Le Théâtre Mogador et Stage Entertainment ont dégainé Cats tandis que le Châtelet propose Singin’ In The Rain. Analyse comparative.

Christopher Wheeldon / Wayne McGregor / Pina Bausch (7 décembre)

Christopher Wheeldon / Wayne McGregor / Pina Bausch (7 décembre)

Les triple bills se suivent et se ressemblent cette saison à l’Opéra Garnier. Cette troisième mouture réunissant deux entrées au répertoire de Christopher Wheeldon et de Wayne McGregor et la reprise du Sacre du Printemps version Pina Bausch se veut un hommage à Pierre Boulez, un fil conducteur bien ténu.