Sadeh 21(11 février)
Le corps de ballet de l’Opéra explore de nouveaux champs chorégraphiques avec l’entrée au répertoire d’une oeuvre phare d’Ohad Naharin.
Le corps de ballet de l’Opéra explore de nouveaux champs chorégraphiques avec l’entrée au répertoire d’une oeuvre phare d’Ohad Naharin.
La co-production entre le Royal Ballet et l’Opéra de Paris, inspirée par la Divine Comédie, avec son équipe artistique 5 étoiles, arrive enfin à Paris plus d’un an après sa création à Londres.
Aurélie Dupont avait donné carte blanche au chorégraphe norvégien Alan Lucien Øyen. Le résultat: Cri de Coeur, un ballet de presque 3 heures et avec très peu de danse, centré sur Marion Barbeau.
Après le succès instantané de the Seasons’Canon, Crystal Pite était à nouveau appelée à chorégraphier pour l’Opéra de Paris, cette fois pour une soirée complète.
Les danseurs de l’Opéra de Paris devaient-ils démarrer leur saison par une pièce ultra-contemporaine? Decadance du chorégraphe israélien Ohad Naharin offre néanmoins de belles satisfactions au spectateur.
L’entrée au répertoire de la fantaisie féérique de George Balanchine est l’occasion de mettre en avant les jeunes talents de la compagnie encadrés par des danseurs expérimentés quelque peu sous-exploités.
L’esthétisme raffiné de Jirí Kylián à Garnier est le contrepoint parfait à la grande soirée classique du Lac des Cygnes à Bastille.
3ème étage, la troupe “bis” de jeunes talents de l’Opéra menée par Samuel Murez, se produit à l’occasion de galas hors les murs. Retour sur leurs représentations à Neuilly-sur-Seine, avec, en tête d’affiche, le toujours épatant François Alu.
Avec ses Récits du Royaume des Songes, Josua Hoffalt fait ses armes de metteur en scène en proposant un spectacle inspiré par le Lac des Cygnes et la Belle au Bois Dormant, qui revisite avec humour ces classiques, servi par François Alu et Hugo Vigliotti déchaînés.