Karl Paquette, les adieux à la scène (31 décembre)
L’étoile de coeur des spectateurs a tiré sa révérence à l’issue de la dernière représentation de l’année 2018 à Bastille.
L’étoile de coeur des spectateurs a tiré sa révérence à l’issue de la dernière représentation de l’année 2018 à Bastille.
Une prometteuse soirée consacrée à Jerome Robbins sonnait l’heure de la rentrée pour les étoiles parisiennes, alors que le Défilé permettait de dire adieu prématurément à Josua Hoffalt et de se préparer psychologiquement au départ de Karl Paquette.
Deux couples d’étoiles, Myriam Ould-Braham / Karl Paquette et Ludmila Pagliero / Mathias Heymann, nous emmènent chacun à leur manière dans une Espagne fantasmée pour un Don Quichotte toujours aussi réjouissant.
Une soirée mixte sous le signe de Stravinsky avec le Sacre du Printemps version Pina Bausch en guise d’apothéose.
Soirée consacrée à Maurice Ravel à l’Opéra, réunissant La Valse chorégraphiée par George Balanchine, En Sol de Jerome Robbins, et l’une des dernières créations de l’ère Brigitte Lefèvre, le Boléro revisité par Sidi Larbi Cherkaoui et Damien Jalet.
L’entrée au répertoire de la fantaisie féérique de George Balanchine est l’occasion de mettre en avant les jeunes talents de la compagnie encadrés par des danseurs expérimentés quelque peu sous-exploités.
Trois étoiles au sommet de leur art sur la scène de l’Opéra Bastille pour un Lac des Cygnes enthousiasmant.
L’héritier Justin Peck côtoie le maître Balanchine dans une soirée haute couture très new-yorkaise qui clôture la saison chorégraphique à l’Opéra Bastille.
La prise du rôle de Giselle à Paris marquait pour Ludmila Pagliero le retour dans un grand ballet narratif, aux côtés toujours rassurants de Karl Paquette.