
Soirée Roland Petit à l’Opéra Garnier (2 juin)
Pour ses retrouvailles avec le public, le Ballet de l’Opéra de Paris célèbre les 10 ans de la disparition de Roland Petit avec 3 titres phares du chorégraphe.
Pour ses retrouvailles avec le public, le Ballet de l’Opéra de Paris célèbre les 10 ans de la disparition de Roland Petit avec 3 titres phares du chorégraphe.
Retour à Garnier après 240 jours d’abstinence pour une soirée Etoiles de l’Opéra, compilation d’extraits du répertoire néo-classique « international ».
Une prometteuse soirée consacrée à Jerome Robbins sonnait l’heure de la rentrée pour les étoiles parisiennes, alors que le Défilé permettait de dire adieu prématurément à Josua Hoffalt et de se préparer psychologiquement au départ de Karl Paquette.
Stéphane Bullion trouve avec Onéguine le rôle de la maturité. Son duo avec Laura Hecquet inaugure un partenariat dramatique prometteur. Paul Marque, quant à lui, impose une personnalité d’interprète, en plus du brillant de sa danse.
Onéguine, le ballet de John Cranko, adaptation du roman en vers de Pouchkine, est repris à Paris pour la quatrième fois depuis 2009. Retour sur 2 distributions : Dorothée Gilbert – Audric Bezard et Laura Hecquet – Stéphane Bullion.
L’héritier Justin Peck côtoie le maître Balanchine dans une soirée haute couture très new-yorkaise qui clôture la saison chorégraphique à l’Opéra Bastille.
La très courte série de soirées Ratmansky – Robbins – Balanchine – Peck est un nouveau volet du parcours dans l’histoire de la danse classique américaine que Benjamin Millepied a dessiné au cours des deux saisons qu’il a programmées.
Dernier soir sur la scène de Garnier pour l’étoile Benjamin Pech à l’occasion de la soirée Bel – Robbins, agrémentée pour l’occasion du pas de deux du Parc.
Le dernier ballet de la saison, l’Anatomie de la Sensation chorégraphié par Wayne McGregor, permet à quelques individualités, dont Hugo Marchand et Laura Hecquet, de donner vie à un classicisme contemporain un peu glaçant.