
Giselle – Ballet de l’Opéra National d’Ukraine (3 janvier)
Le Ballet de l’Opéra National d’Ukraine offre une Giselle de la plus belle eau au public parisien. Un exploit si l’on considère le quotidien tourmenté des danseurs.
Le Ballet de l’Opéra National d’Ukraine offre une Giselle de la plus belle eau au public parisien. Un exploit si l’on considère le quotidien tourmenté des danseurs.
L’English National Ballet présente pour la première fois à Paris une création acclamée d’Akram Khan, relecture de Giselle à l’aune des luttes politiques du XXIème siècle.
Le couple star de l’Opéra réuni pour la première fois dans le ballet emblématique du répertoire parisien, c’était l’événement à ne pas manquer en cette fin de saison.
Pour se réconcilier avec l’Opéra après les grèves, rien de tel que Giselle. Retour sur 2 distributions: Dorothée Gilbert/Mathieu Ganio et Amandine Albisson/Hugo Marchand.
Le Ballet National de Cuba a pris ses quartiers d’été à la Salle Pleyel à Paris pour une tournée 100% classique. Premier volet avec une Giselle à la production désuète portée par de grands interprètes.
Quatuor majeur pour la dernière distribution de Giselle avec Myriam Ould-Braham, Mathias Heymann, François Alu et Hannah O’Neill.
La prise du rôle de Giselle à Paris marquait pour Ludmila Pagliero le retour dans un grand ballet narratif, aux côtés toujours rassurants de Karl Paquette.
Magnifique prise de rôle pour Hannah O’Neill en Myrtha pour la deuxième apparition du couple Albisson – Bullion.
Giselle est de retour sur la scène du Palais Garnier après une longue absence. Amandine Albisson, très distribuée, ajoute un nouveau rôle à son répertoire, tandis que Stéphane Bullion retrouve un grand rôle classique après une longue disette.