Les derniers compte-rendus

Le Lac des Cygnes – Albisson/Ganio/Alu (08, 11 et 14 décembre)

Le trio Albisson, Ganio et Alu ne sembait pas idéal sur le papier. L’évolution de cette distribution sur une semaine entre la diffusion au cinéma, la matinée Rêve d’Enfants et la soirée du 14 décembre est la parfaite illustration d’un « work in progress ».

Soirée Jirí Kylián (03 décembre)

L’esthétisme raffiné de Jirí Kylián à Garnier est le contrepoint parfait à la grande soirée classique du Lac des Cygnes à Bastille.

Soirée Balanchine (15 novembre)

Retour sur la dernière incursion en 2016 du ballet de l’Opéra de Paris chez Balanchine en attendant le Songe d’une Nuit d’Eté et la Valse en 2017.

Soirée Balanchine (27 octobre)

La soirée Balanchine marquait la véritable rentrée des solistes du Ballet de l’Opéra, avec sur scène pas moins de 10 étoiles et 5 premiers danseurs, pour un programme mixte conséquent regroupant quatre oeuvres du maître du New York City Ballet.

Hommage à Nijinski à la Philharmonie de Paris (23 octobre)

Au sein de la très riche programmation de la Philharmonie de Paris, le « week-end » thématique du 21 au 24 octobre était consacré à la danse avec notamment un beau programme Hommage à Nijinski qui invitait le spectateur à un voyage aux sources des Ballets Russes.

Le Bolchoï au cinéma – L’Age d’Or (16 octobre)

Pour sa nouvelle saison, le Bolchoï nous fait plonger dans la Russie post-révolution pour l’Age d’Or, un ballet de Youri Grigorovitch qui mêle drame et comédie, danse soviétique et influences jazzy, avec un bad boy d’anthologie, Mikhail Lobukhin.

Autour du ballet

Au fil du blog

Play – Alexander Ekman (7 décembre)

Play – Alexander Ekman (7 décembre)

C’était un peu la création de la saison, un ballet de deux heures commandé au chorégraphe Alexander Ekman pour Noël. Play est-il à la hauteur de l’attente et des ambitions d’Aurélie Dupont?

Joyaux (07 octobre – Soirée)

Joyaux (07 octobre – Soirée)

Une deuxième distribution de Joyaux, dominée par le duo explosif Valentine Colasante – François Alu et la délicatesse de Myriam Ould-Braham joliment mise en valeur par Germain Louvet.