Compte-Rendus
Soirée Jeunes Danseurs (9 juillet)
Pour conclure une courte saison, la soirée Jeunes Danseurs permet de donner du temps de scène aux nouvelles recrues de la compagnie ainsi qu’aux artistes les plus prometteurs du corps de ballet.
Roméo et Juliette – Baptêmes d’étoiles (23 juin)
Sae Eun Park et Paul Marque ont pris brillamment leurs marques d’étoiles, épaulés par une troupe au diapason, dans le ballet théâtral de Noureev.
Soirée Roland Petit à l’Opéra Garnier (2 juin)
Pour ses retrouvailles avec le public, le Ballet de l’Opéra de Paris célèbre les 10 ans de la disparition de Roland Petit avec 3 titres phares du chorégraphe.
Gala d’Ouverture du Ballet de l’Opéra de Paris (streaming)
Un Gala d’Ouverture fin janvier pour une saison atypique. Si le traditionnel défilé est un peu déprimant, la belle danse est au rendez-vous, rallumant la flamme même derrière un écran.
Opera di Roma – Baroque Suite (streaming)
Pour sa compagnie, Eleonora Abbagnato se lance dans la chorégraphie, épaulée par Benjamin Pech, avec Baroque Suite. Une première réussie diffusée sur You Tube.
Une Bayadère en temps de Coronavirus (13 décembre)
Faute de représentations « en vrai », il faudra se contenter cette année d’une captation de la Bayadère sur la nouvelle plateforme de diffusion de l’Opéra. Distribution multi-étoilée au programme, et en bonus une nomination surprise pour Paul Marque.
Chaillot – Scènes d’Italie (octobre)
Le Théâtre National de la Danse nous conviait en Italie pour l’ouverture de sa saison. Si Excelsior pouvait laisser l’amateur de danse sur sa faim, le Don Juan de Johan Inger est une belle découverte.
Noureev (8 octobre)
Place à un gala très classique consacré à l’héritage de Rudolf Noureev pour le deuxième rendez-vous de la saison à l’Opéra Garnier.
Etoiles de l’Opéra (5 octobre)
Retour à Garnier après 240 jours d’abstinence pour une soirée Etoiles de l’Opéra, compilation d’extraits du répertoire néo-classique « international ».
Mayerling – Stuttgart Ballet (streaming)
Le programme spécial confinement du Ballet de Stuttgart est à surveiller de près. En témoigne, ce Mayerling mis en ligne pour 24 heures et qui nous console de l’annulation parisienne.