Soirée Thierrée / Shechter / Pérez / Pite (24 mai)
Trois créations et une reprise pour un programme contemporain branché à Garnier. Sentiments mitigés.
Trois créations et une reprise pour un programme contemporain branché à Garnier. Sentiments mitigés.
Anne Teresa De Keersmaeker est la chorégraphe contemporaine incontournable dans la programmation de l’Opéra de Paris. Retour sur la reprise de la soirée mixte de 2015 réunissant Quatuor n°4, Die Große Fuge et la Nuit Transfigurée.
L’Ecole de Danse propose cette année un triple bill sous le signe du néoclassicisme lyrico-abstrait. Retour sur la matinée du 15 avril.
L’opéra dansé de Pina Bausch sur l’oeuvre de Gluck est désormais un classique du répertoire parisien. Stéphane Bullion est l’Orphée qui accompagne l’Eurydice de Marie-Agnès Gillot pour une série qui marquera ses adieux à la scène de l’Opéra de Paris.
Stéphane Bullion trouve avec Onéguine le rôle de la maturité. Son duo avec Laura Hecquet inaugure un partenariat dramatique prometteur. Paul Marque, quant à lui, impose une personnalité d’interprète, en plus du brillant de sa danse.
Dans ce programme mixte sous le signe de Ravel, le Daphnis et Chloé de Benjamin Millepied, créé pendant la lune du miel du chorégraphe avec l’Opéra de Paris, est repris avec l’iconique Boléro de Béjart, où Marie-Agnès Gillot commence sa tournée d’adieux.
Onéguine, le ballet de John Cranko, adaptation du roman en vers de Pouchkine, est repris à Paris pour la quatrième fois depuis 2009. Retour sur 2 distributions : Dorothée Gilbert – Audric Bezard et Laura Hecquet – Stéphane Bullion.
Deux couples d’étoiles, Myriam Ould-Braham / Karl Paquette et Ludmila Pagliero / Mathias Heymann, nous emmènent chacun à leur manière dans une Espagne fantasmée pour un Don Quichotte toujours aussi réjouissant.
C’était un peu la création de la saison, un ballet de deux heures commandé au chorégraphe Alexander Ekman pour Noël. Play est-il à la hauteur de l’attente et des ambitions d’Aurélie Dupont?