
Soirée León / Lightfoot / Van Manen (19 avril)
Une soirée 100% Nederland Dans Theater pour le Ballet de l’Opéra de Paris, pour 53 minutes de danse et moins de vingt danseurs sur scène.
Une soirée 100% Nederland Dans Theater pour le Ballet de l’Opéra de Paris, pour 53 minutes de danse et moins de vingt danseurs sur scène.
Voici un bilan personnel de l’année 2018 côté danse au travers de 5 tops et de 5 flops.
Une prometteuse soirée consacrée à Jerome Robbins sonnait l’heure de la rentrée pour les étoiles parisiennes, alors que le Défilé permettait de dire adieu prématurément à Josua Hoffalt et de se préparer psychologiquement au départ de Karl Paquette.
Décidément Aurélie Dupont aime surprendre. Fini les nominations d’étoiles planifiées, place à la spontanéité: Valentine Colasante accède au grade ultime à l’issue de l’avant-dernière représentation de Don Quichotte.
Deux couples d’étoiles, Myriam Ould-Braham / Karl Paquette et Ludmila Pagliero / Mathias Heymann, nous emmènent chacun à leur manière dans une Espagne fantasmée pour un Don Quichotte toujours aussi réjouissant.
Une deuxième distribution de Joyaux, dominée par le duo explosif Valentine Colasante – François Alu et la délicatesse de Myriam Ould-Braham joliment mise en valeur par Germain Louvet.
Soirée consacrée à Maurice Ravel à l’Opéra, réunissant La Valse chorégraphiée par George Balanchine, En Sol de Jerome Robbins, et l’une des dernières créations de l’ère Brigitte Lefèvre, le Boléro revisité par Sidi Larbi Cherkaoui et Damien Jalet.
Le trio Albisson, Ganio et Alu ne sembait pas idéal sur le papier. L’évolution de cette distribution sur une semaine entre la diffusion au cinéma, la matinée Rêve d’Enfants et la soirée du 14 décembre est la parfaite illustration d’un « work in progress ».
Clap de fin sur la saison pour moi avec une deuxième vision de la création de Justin Peck et du splendide Brahms-Schoenberg Quartet de Balanchine avec une distribution mêlant jeunes talents et étoiles.