
Giselle – Ballet de l’Opéra National d’Ukraine (3 janvier)
Le Ballet de l’Opéra National d’Ukraine offre une Giselle de la plus belle eau au public parisien. Un exploit si l’on considère le quotidien tourmenté des danseurs.
Le Ballet de l’Opéra National d’Ukraine offre une Giselle de la plus belle eau au public parisien. Un exploit si l’on considère le quotidien tourmenté des danseurs.
La nouvelle série du Lac des Cygnes a vu ses distributions masculines totalement chamboulées. Pas évident dans ces conditions d’offrir un bel écrin à Myriam Ould-Braham qui aborde sa dernière série d’Odette / Odile.
Tempête sous un crâne à Garnier avec Stéphane Bullion qui interprète avec une grande intensité Rodolphe. Une performance d’acteur et de danseur qui fait oublier les excès du ballet.
L’English National Ballet présente pour la première fois à Paris une création acclamée d’Akram Khan, relecture de Giselle à l’aune des luttes politiques du XXIème siècle.
Hugo Marchand relève le défi ultime pour une étoile masculine avec Mayerling qui fait son entrée au répertoire de l’Opéra de Paris.
Avec ce spectacle aux frontières du ballet, du musical et du cinéma, Benjamin Millepied réussit un superbe divertissement populaire.
Aurélie Dupont avait donné carte blanche au chorégraphe norvégien Alan Lucien Øyen. Le résultat: Cri de Coeur, un ballet de presque 3 heures et avec très peu de danse, centré sur Marion Barbeau.
Giselle à Garnier ne doit pas faire oublier la belle reprise du Songe d’une Nuit d’Eté de Balanchine à Bastille. Un rêve éveillé pour balletomane avec de très belles distributions.
Le couple star de l’Opéra réuni pour la première fois dans le ballet emblématique du répertoire parisien, c’était l’événement à ne pas manquer en cette fin de saison.