Barbe-Bleue – Pina Bausch (30 juin)
Pour finir la saison, l’Opéra Garnier accueille une entrée au répertoire, Barbe-Bleue, une oeuvre fondatrice de Pina Bausch, à réserver à un public averti.
Pour finir la saison, l’Opéra Garnier accueille une entrée au répertoire, Barbe-Bleue, une oeuvre fondatrice de Pina Bausch, à réserver à un public averti.
Sae Eun Park retrouvait le Lac des Cygnes et le double rôle d’Odette – Odile 5 ans après une mémorable représentation avec Mathieu Ganio. La voici associée à Paul Marque pour ce qui est désormais une distribution phare dans les grands classiques à Paris.
Le Boston Ballet revient à Paris avec un programme résolument néoclassique que la découverte d’un nouveau volume du Blake Works de William Forsythe rend électrisant.
Pour cette série de Giselle marquée par les adieux de Myriam Ould-Braham, une nouvelle génération de danseuses a l’occasion d’aborder ce rôle mythique. Et en particulier Bleuenn Battistoni qui y étrenne sa nomination d’étoile aux côtés de Marc Moreau, toujours aussi surprenant.
Le parcours sans faute d’Ines McIntosh se poursuit avec une belle prise de rôle en Kitri. Francesco Mura l’accompagne et rappelle au passage qu’il est une étoile en puissance.
Soirée assez éclectique en marge de la saison qui donne l’opportunité à certains danseurs de l’Opéra de présenter leur travail de chorégraphe, largement influencé par leur parcours d’interprète.
Pour son cru 2014, le Spectacle de l’Ecole de Danse explore le répertoire néo-classique. Roland Petit côtoie Jirí Kylián, tandis que le Suite en Blanc de Serge Lifar clôture en majesté la soirée.
Valentine Colasante et Paul Marque sont au sommet de leur art et dans leur emploi idéal pour cette nouvelle reprise du Don Quichotte de Noureev.
Light of Passage, une nouvelle oeuvre ambitieuse pour une des chorégraphes incontournables du moment, Crystal Pite, était présentée au Théâtre des Champs-Elysées par le Ballet National de Norvège.