
Le Rouge et le Noir (Pierre Lacotte)
L’adaptation du roman de Stendhal par Pierre Lacotte s’annonçait comme l’évènement chorégraphique des 10 dernières années. Pari tenu?
L’adaptation du roman de Stendhal par Pierre Lacotte s’annonçait comme l’évènement chorégraphique des 10 dernières années. Pari tenu?
Un Gala d’Ouverture fin janvier pour une saison atypique. Si le traditionnel défilé est un peu déprimant, la belle danse est au rendez-vous, rallumant la flamme même derrière un écran.
Faute de représentations « en vrai », il faudra se contenter cette année d’une captation de la Bayadère sur la nouvelle plateforme de diffusion de l’Opéra. Distribution multi-étoilée au programme, et en bonus une nomination surprise pour Paul Marque.
Place à un gala très classique consacré à l’héritage de Rudolf Noureev pour le deuxième rendez-vous de la saison à l’Opéra Garnier.
Une soirée 100% Nederland Dans Theater pour le Ballet de l’Opéra de Paris, pour 53 minutes de danse et moins de vingt danseurs sur scène.
L’Opéra reprend la Cendrillon de Noureev pour les fêtes de fin d’année. Le conte de fées mis en musique par Prokofiev devient le rêve d’une apprentie actrice dans le Hollywood des années 30.
Une soirée mixte sous le signe de Stravinsky avec le Sacre du Printemps version Pina Bausch en guise d’apothéose.
Une deuxième distribution de Joyaux, dominée par le duo explosif Valentine Colasante – François Alu et la délicatesse de Myriam Ould-Braham joliment mise en valeur par Germain Louvet.
Un avant-goût de la Sylphide qui clôturera la saison de danse à l’Opéra Garnier, avec Léonore Baulac et Germain Louvet.