Les derniers compte-rendus
Spectacle de l’école de danse 2014 (8 avril)
Place aux petits rats pour le spectacle annuel de l’école de danse de l’Opéra de Paris. Ils nous ont démontré leurs talents: virtuosité technique, poésie, capacité à faire passer l’émotion, esprit de troupe.
Le Bolchoï au cinéma – Marco Spada
A revoir ou à découvrir, Marco Spada, la reconstruction par Pierre Lacotte du ballet de Joseph Mazilier, dansé par le Bolchoï dans la distribution exceptionnelle de sa première.
Soirée Cullberg / De Mille (2 mars)
Deux destins tragiques de deux jeunes filles à la fin du XIXème siècle pour la soirée Cullberg / De Mille : à la reconstitution un peu pesante d’une cause célèbre américaine, on pourra préférer Mlle Julie, adaptation percutante de la pièce de Strindberg.
Gala des Etoiles – Hommage à Manuel Legris (1er mars)
Si l’on apprécie le genre, la 2ème édition du Gala des Etoiles au Palais des Congrès était une soirée plutôt réussie. Le plus des représentations du 1er et du 2 mars était la présence sur scène du directeur artistique de la tournée, Manuel Legris.
Les adieux d’Isabelle Ciaravola – Onéguine (28 février)
L’émotion était à son comble pour la sortie d’Isabelle Ciaravola accompagnée d’Hervé Moreau et de Karl Paquette pour ses derniers pas de deux sur la scène de Garnier.
Onéguine – Mc Kie / Ciaravola (08 février)
Onéguine, le ballet roman parfait de John Cranko, est repris pour la troisième fois à Paris. L’occasion de fêter le talent d’Isabelle Ciaravola, magnifique héroïne, rayonnante au milieu d’une distribution masculine de haut vol.
Le Bolchoï à Paris – Illusions Perdues (10 janvier)
Pour sa venue à Paris, le Bolchoï n’a pas amené une de ses «superproductions» chorégraphiques mais un ballet dans la veine néo-classique, inspiré du chef d’œuvre de Balzac, Illusions Perdues.
Le Parc – Ciaravola / Bullion (30 décembre)
Ce 30 décembre, la passion était au rendez-vous dans le Parc sur la scène de l’Opéra Garnier avec le duo exceptionnel formé par Isabelle Ciaravola et Stéphane Bullion, peut-être pour la dernière fois à l’Opéra à quelques jours des adieux d’Isabelle Ciaravola.
La Belle au Bois Dormant – Pagliero / Hoffalt (15 décembre)
A l’occasion de la matinée Rêve d’Enfant, Ludmila Pagliero et Josua Hoffalt nous ont à nouveau enchantés, avec un partenariat qui s’est encore affiné depuis leur première.
Le Parc – Ciaravola / Paquette (8 décembre)
Face au classicisme absolu de la Belle au Bois Dormant à l’Opéra Bastille, la scène de Garnier est occupée par le Parc et sa modernité bien tempérée.
Autour du ballet
Graines d’Etoiles, un documentaire sur l’Ecole de Danse de l’Opéra
A l’occasion de son Tricentenaire, l’Ecole de Danse de l’Opéra nous ouvre ses portes.
Comment danse-t-on sur du Mahler, Monsieur Neumeier?
A lire avant d’aller voir à Bastille la 3ème Symphonie de Mahler chorégraphiée par John Neumeier, une interview donnée par ce dernier en 2011 à « Die Welt ».
Eleonora Abbagnato étoile
Eleonora Abbagnato reçoit la nomination si longtemps attendue à l’issue de la représentation de Carmen du 27 mars.
Au fil du blog
Les Etés de la Danse – Alvin Ailey (1er août)
Deuxième incursion aux Étés de la Danse pour découvrir la compagnie Alvin Ailey dans un programme éclectique où le néo-classicisme abstrait côtoie danse africaine et hip-hop.
Les Etés de la Danse – Alvin Ailey (11 juillet)
L’Alvin Ailey American Dance Theater fait partie des valeurs sûres des Etés de la Danse. La troupe est pour un mois à Paris et reprend ses pièces historiques, icônes de la culture afro-américaine.
L’Anatomie de la Sensation ou la danse décortiquée au scalpel (8 juillet)
Le dernier ballet de la saison, l’Anatomie de la Sensation chorégraphié par Wayne McGregor, permet à quelques individualités, dont Hugo Marchand et Laura Hecquet, de donner vie à un classicisme contemporain un peu glaçant.
La Fille mal gardée – le double rendez-vous de Colas (6 juillet)
Eléonore Guérineau a remplacé avec beaucoup de cran Myriam Ould-Braham en cours de représentation aux côtés de Josua Hoffalt, brillant Colas.
La Fille mal gardée – les feux de l’été (2 juillet)
Pour se sentir en vacances, rien de tel qu’une représentation de la Fille Mal Gardée, un ballet qui sied particulièrement bien aux danseurs de l’Opéra, avec François Alu en amoureux malicieux, Muriel Zusperreguy en paysanne dégourdie et Takeru Coste en mère dragon hilarante.
Tchaikovski – Récits du Royaume des Songes (3ème Étage)
Avec ses Récits du Royaume des Songes, Josua Hoffalt fait ses armes de metteur en scène en proposant un spectacle inspiré par le Lac des Cygnes et la Belle au Bois Dormant, qui revisite avec humour ces classiques, servi par François Alu et Hugo Vigliotti déchaînés.
Dancers, un documentaire sur trois aspirants danseurs
Dans la lignée de Graines d’Etoiles et First Position et autres La Danse à tout Prix, un documentaire norvégien suit trois aspirants danseurs, Lukas, Syvert et Torgeir dans leur apprentissage et la préparation du concours qui va décider de leur vie d’artiste.
Les Enfants du Paradis – L’amour sous les feux de la rampe (6 juin)
Avec le triangle amoureux Baptiste-Garance-Nathalie incarnés par Stéphane Bullion, Amandine Albisson et Mélanie Hurel, les Enfants du Paradis se savourent différemment.
Les Enfants du Paradis – Tourisme sur les boulevards (29 mai)
En adaptant pour le ballet, le chef d’oeuvre de Marcel Carné, les Enfants du Paradis, José Martinez recrée, pour le temps d’un spectacle, la magie d’un Paris du spectacle disparu dans l’enceinte de l’Opéra Garnier.
L’Histoire de Manon – Gilbert / Marchand (20 mai)
Faire oublier la technique pour embarquer le spectateur dans un tourbillon d’émotions, c’est ce que Dorothée Gilbert, Hugo Marchand et François Alu ont réussi lors de la dernière de l’Histoire de Manon.