
Noureev (8 octobre)
Place à un gala très classique consacré à l’héritage de Rudolf Noureev pour le deuxième rendez-vous de la saison à l’Opéra Garnier.
Place à un gala très classique consacré à l’héritage de Rudolf Noureev pour le deuxième rendez-vous de la saison à l’Opéra Garnier.
Une soirée en guise de revue d’effectif de la compagnie après un hiver sinistré par les grèves: 3 classiques de Balanchine pour retrouver le sourire.
Mats Ek offre une soirée de danse réjouissante avec un Carmen estival et deux créations.
Onéguine, le ballet de John Cranko, adaptation du roman en vers de Pouchkine, est repris à Paris pour la quatrième fois depuis 2009. Retour sur 2 distributions : Dorothée Gilbert – Audric Bezard et Laura Hecquet – Stéphane Bullion.
Deux couples d’étoiles, Myriam Ould-Braham / Karl Paquette et Ludmila Pagliero / Mathias Heymann, nous emmènent chacun à leur manière dans une Espagne fantasmée pour un Don Quichotte toujours aussi réjouissant.
Une deuxième distribution de Joyaux, dominée par le duo explosif Valentine Colasante – François Alu et la délicatesse de Myriam Ould-Braham joliment mise en valeur par Germain Louvet.
Soirée consacrée à Maurice Ravel à l’Opéra, réunissant La Valse chorégraphiée par George Balanchine, En Sol de Jerome Robbins, et l’une des dernières créations de l’ère Brigitte Lefèvre, le Boléro revisité par Sidi Larbi Cherkaoui et Damien Jalet.
L’entrée au répertoire de la fantaisie féérique de George Balanchine est l’occasion de mettre en avant les jeunes talents de la compagnie encadrés par des danseurs expérimentés quelque peu sous-exploités.
Un couple surprise, Léonore Baulac et Mathias Heymann, était à l’affiche le 10 avril. La danse de Mathias Heymann est plus brillante que jamais pour sa prise de rôle en Roméo et le partenariat impromptu s’est avéré une grande réussite.