
Raymonda – Gilbert/Marchand/Bullion (3 décembre)
Une distribution superlative pour la première Raymonda de cette série hivernale à l’Opéra Bastille.
Une distribution superlative pour la première Raymonda de cette série hivernale à l’Opéra Bastille.
Voici un bilan personnel de l’année 2018 côté danse au travers de 5 tops et de 5 flops.
Un couple inédit pour la 6ème reprise du ballet roman de John Neumeier à Paris et une soirée en demi-teinte.
Avec le concours de promotion 2017 décalé de novembre à mars 2018, la version 2018 revient en novembre: l’occasion pour des jeunes talentueux de réaliser une progression fulgurante en moins de 12 mois, tandis que les « anciens » n’ont pas dit leur dernier mot.
Une prometteuse soirée consacrée à Jerome Robbins sonnait l’heure de la rentrée pour les étoiles parisiennes, alors que le Défilé permettait de dire adieu prématurément à Josua Hoffalt et de se préparer psychologiquement au départ de Karl Paquette.
Une soirée mixte sous le signe de Stravinsky avec le Sacre du Printemps version Pina Bausch en guise d’apothéose.
Le trio Albisson, Ganio et Alu ne sembait pas idéal sur le papier. L’évolution de cette distribution sur une semaine entre la diffusion au cinéma, la matinée Rêve d’Enfants et la soirée du 14 décembre est la parfaite illustration d’un « work in progress ».
Trois étoiles au sommet de leur art sur la scène de l’Opéra Bastille pour un Lac des Cygnes enthousiasmant.
Du drame pour la deuxième journée du concours avec les défaillances de Letizia Galloni et Héloïse Bourdon, et 3 promotions, Camille Bon, Alice Catonnet et Sae Eun Park qui s’inscrivent dans la continuité des choix de la veille.