La Fille Mal Gardée – Renavand/Alu (28 juin)
Alice Renavand et François Alu en couple vedette d’un ballet classique, c’est une association étonnante pour une réjouissante Fille Mal Gardée.
Alice Renavand et François Alu en couple vedette d’un ballet classique, c’est une association étonnante pour une réjouissante Fille Mal Gardée.
Dans ce programme mixte sous le signe de Ravel, le Daphnis et Chloé de Benjamin Millepied, créé pendant la lune du miel du chorégraphe avec l’Opéra de Paris, est repris avec l’iconique Boléro de Béjart, où Marie-Agnès Gillot commence sa tournée d’adieux.
Clap de fin sur la saison pour moi avec une deuxième vision de la création de Justin Peck et du splendide Brahms-Schoenberg Quartet de Balanchine avec une distribution mêlant jeunes talents et étoiles.
Dorothée Gilbert et Hugo Marchand savent danser la passion et nous le prouvent une nouvelle fois.
Variation sur le thème d’un ballet oublié de 1866, la Source de Jean-Guillaume Bart est un ballet précieux qui trouve naturellement sa place dans l’écrin du Palais Garnier. D’une distribution à l’autre, le ballet poétique porté par Ludmila Pagliero devient une aventure exotique avec une star nommée François Alu.
Des solistes brillants pour la première de Notre Dame de Paris, un ballet à grand spectacle qui vaut surtout pour ses passages les plus intimistes. Face au Quasimodo parfaitement incarné de Nicolas Le Riche, Josua Hoffalt est un Frollo virtuose.
D’une distribution à l’autre, les impressions varient sur le programme Balanchine – Millepied.
Une soirée en hommage aux Ballets Russes, marquée par la création du Boléro de Cherkaoui-Jalet et la très belle interprétation du Faune de Robbins par Emilie Cozette et Stéphane Bullion.
Pour trois soirées, l’amphithéâtre Bastille accueillait les créations des danseurs chorégraphes du Ballet de l’Opéra.