
Soirée Balanchine – Teshigawara – Bausch (26 octobre)
Une soirée mixte sous le signe de Stravinsky avec le Sacre du Printemps version Pina Bausch en guise d’apothéose.
Une soirée mixte sous le signe de Stravinsky avec le Sacre du Printemps version Pina Bausch en guise d’apothéose.
Avec les Joyaux de Balanchine pour ouvrir la saison, c’est une certaine idée de l’apparat qui sied à une grande compagnie classique qui revient au goût du jour.
Soirée consacrée à Maurice Ravel à l’Opéra, réunissant La Valse chorégraphiée par George Balanchine, En Sol de Jerome Robbins, et l’une des dernières créations de l’ère Brigitte Lefèvre, le Boléro revisité par Sidi Larbi Cherkaoui et Damien Jalet.
L’entrée au répertoire de la fantaisie féérique de George Balanchine est l’occasion de mettre en avant les jeunes talents de la compagnie encadrés par des danseurs expérimentés quelque peu sous-exploités.
Trois étoiles au sommet de leur art sur la scène de l’Opéra Bastille pour un Lac des Cygnes enthousiasmant.
Du drame pour la deuxième journée du concours avec les défaillances de Letizia Galloni et Héloïse Bourdon, et 3 promotions, Camille Bon, Alice Catonnet et Sae Eun Park qui s’inscrivent dans la continuité des choix de la veille.
Une séance de travail autour de l’entrée au répertoire du Mozartiana de Balanchine réunissait Sae Eun Park et Fabien Revillion.
L’héritier Justin Peck côtoie le maître Balanchine dans une soirée haute couture très new-yorkaise qui clôture la saison chorégraphique à l’Opéra Bastille.
Benjamin Millepied s’est invité en dernière minute dans le programme Bel – Robbins pour une création sur l’Appassionata de Beethoven. Une pièce dont il a donné un avant-goût lors d’une répétition publique.