Les tops et les flops de 2019
Coup d’oeil dans le rétroviseur de l’année 2019
Coup d’oeil dans le rétroviseur de l’année 2019
Mathieu Ganio, le Siegfried de l’Opéra, rencontre Sae Eun Park, une Odette/Odile virtuose, sous la menace de Jérémy-Loup Quer, Rothbart glaçant.
L’esprit des Ballets Russes flotte sur Paris en ce début de mois de février, avec un programme réunissant Faun de Sidi Larbi Cherkaoui, une création de l’Allemand Marco Goecket et Les Noces de Stravinsky chorégraphiées par Pontus Lidberg.
Un couple inédit pour la 6ème reprise du ballet roman de John Neumeier à Paris et une soirée en demi-teinte.
Une soirée mixte sous le signe de Stravinsky avec le Sacre du Printemps version Pina Bausch en guise d’apothéose.
Avec les Joyaux de Balanchine pour ouvrir la saison, c’est une certaine idée de l’apparat qui sied à une grande compagnie classique qui revient au goût du jour.
Le gala dédié à la grande étoile française, Yvette Chauviré (1917 – 2016), qui aurait eu 100 ans ce 22 avril, apparaissait comme une oasis bienvenue, dédiée au classicisme et au répertoire historique de l’Opéra de Paris.
Le trio Albisson, Ganio et Alu ne sembait pas idéal sur le papier. L’évolution de cette distribution sur une semaine entre la diffusion au cinéma, la matinée Rêve d’Enfants et la soirée du 14 décembre est la parfaite illustration d’un « work in progress ».
Retour sur la dernière incursion en 2016 du ballet de l’Opéra de Paris chez Balanchine en attendant le Songe d’une Nuit d’Eté et la Valse en 2017.