Giselle (2 et 8 février)
Pour se réconcilier avec l’Opéra après les grèves, rien de tel que Giselle. Retour sur 2 distributions: Dorothée Gilbert/Mathieu Ganio et Amandine Albisson/Hugo Marchand.
Pour se réconcilier avec l’Opéra après les grèves, rien de tel que Giselle. Retour sur 2 distributions: Dorothée Gilbert/Mathieu Ganio et Amandine Albisson/Hugo Marchand.
Après le succès instantané de the Seasons’Canon, Crystal Pite était à nouveau appelée à chorégraphier pour l’Opéra de Paris, cette fois pour une soirée complète.
Trois créations et une reprise pour un programme contemporain branché à Garnier. Sentiments mitigés.
La saison en cours est résolument contemporaine, et la soirée consacrée à deux chorégraphes américains, Merce Cunningham et William Forsythe, est sans doute la plus exigeante de celles qui nous ont été proposées depuis un an.
Trois étoiles au sommet de leur art sur la scène de l’Opéra Bastille pour un Lac des Cygnes enthousiasmant.
Du drame pour la deuxième journée du concours avec les défaillances de Letizia Galloni et Héloïse Bourdon, et 3 promotions, Camille Bon, Alice Catonnet et Sae Eun Park qui s’inscrivent dans la continuité des choix de la veille.
Le plaisir de la danse au rendez-vous de la première soirée de la saison dominée par le Défilé du Ballet et la création de Crystal Pite, The Seasons’ Canon.
Pour sa première saison de Directeur de la Danse, Benjamin Millepied avait « recruté » William Forsythe en tant que chorégraphe associé. Cette collaboration se matérialise par un programme rassemblant trois œuvres du chorégraphe, dont la création d’une nouvelle pièce Blake Works I, un événement chorégraphique qui passe presque inaperçu en cette fin de saison.
Quatuor majeur pour la dernière distribution de Giselle avec Myriam Ould-Braham, Mathias Heymann, François Alu et Hannah O’Neill.