Crystal Pite – Body and Soul (5 novembre)
Après le succès instantané de the Seasons’Canon, Crystal Pite était à nouveau appelée à chorégraphier pour l’Opéra de Paris, cette fois pour une soirée complète.
Après le succès instantané de the Seasons’Canon, Crystal Pite était à nouveau appelée à chorégraphier pour l’Opéra de Paris, cette fois pour une soirée complète.
Les danseurs de l’Opéra de Paris devaient-ils démarrer leur saison par une pièce ultra-contemporaine? Decadance du chorégraphe israélien Ohad Naharin offre néanmoins de belles satisfactions au spectateur.
Trois créations et une reprise pour un programme contemporain branché à Garnier. Sentiments mitigés.
L’opéra dansé de Pina Bausch sur l’oeuvre de Gluck est désormais un classique du répertoire parisien. Stéphane Bullion est l’Orphée qui accompagne l’Eurydice de Marie-Agnès Gillot pour une série qui marquera ses adieux à la scène de l’Opéra de Paris.
30 minutes de scène, de vrais décors, de belles lumières et des distributions étoilées : la soirée consacrée aux danseurs chorégraphes de l’Opéra de Paris était une formidable opportunité pour Sébastien Bertaud, Simon Valastro, Bruno Bouché et Nicolas Paul de présenter leur travail.
Eléonore Guérineau a remplacé avec beaucoup de cran Myriam Ould-Braham en cours de représentation aux côtés de Josua Hoffalt, brillant Colas.
Avec le triangle amoureux Baptiste-Garance-Nathalie incarnés par Stéphane Bullion, Amandine Albisson et Mélanie Hurel, les Enfants du Paradis se savourent différemment.
En attendant les adieux d’Aurélie Dupont aux côtés du beau Roberto Bolle, Ludmila Pagliero et Josua Hoffalt livrent leur version des amours tumultueuses de Manon Lescaut et de Des Grieux.
La soirée Paul/Rigal/Lock, complétée par une création de Benjamin Millepied, remplit le créneau annuel de l’Opéra du programme mixte contemporain tendance. On en ressort un peu groggy, malgré une concentration importante d’étoiles sur scène.