Le Bolchoï au cinéma – Le Corsaire (22 octobre)
Retour sur la première séance de la saison cinéma du Bolchoï avec un ballet romantique et spectaculaire, le Corsaire.
Retour sur la première séance de la saison cinéma du Bolchoï avec un ballet romantique et spectaculaire, le Corsaire.
Avec la Mégère Apprivoisée, Jean-Christophe Maillot a offert au Bolchoï un classique instantané extrêmement moderne à bien des égards mais s’inscrivant également très respectueusement dans la tradition de la troupe.
La saison cinématographique du Bolchoï a débuté le 11 octobre avec le ballet romantique par excellence, Giselle, permettant aux spectateurs de découvrir un pan plus intimiste de son répertoire, assez éloigné du ballet à grand spectacle qui est sa marque de fabrique sur la scène internationale.
Après un Casse-Noisette enchanteur à Noël, c’est au tour du ballet ultime, le Lac des Cygnes, de nous captiver l’espace d’un dimanche après-midi. Aux côtés de la prima ballerina assoluta du Bolchoï, Svetlana Zakharova, Denis Rodkin est un Siegfried bouleversant.
Au fil des retransmissions sur grand écran, on ne peut s’empêcher d’être bluffé par la capacité de la troupe du Bolchoï à faire rêver, émouvoir et éblouir. C’est encore le cas avec la reprise de Légende d’Amour (1961) de Youri Grigorovitch.