Soirée Sehgal/ Peck/ Pite/ Forsythe (26 septembre)
Le plaisir de la danse au rendez-vous de la première soirée de la saison dominée par le Défilé du Ballet et la création de Crystal Pite, The Seasons’ Canon.
Le plaisir de la danse au rendez-vous de la première soirée de la saison dominée par le Défilé du Ballet et la création de Crystal Pite, The Seasons’ Canon.
Pour sa première saison de Directeur de la Danse, Benjamin Millepied avait « recruté » William Forsythe en tant que chorégraphe associé. Cette collaboration se matérialise par un programme rassemblant trois œuvres du chorégraphe, dont la création d’une nouvelle pièce Blake Works I, un événement chorégraphique qui passe presque inaperçu en cette fin de saison.
Quatuor majeur pour la dernière distribution de Giselle avec Myriam Ould-Braham, Mathias Heymann, François Alu et Hannah O’Neill.
La prise du rôle de Giselle à Paris marquait pour Ludmila Pagliero le retour dans un grand ballet narratif, aux côtés toujours rassurants de Karl Paquette.
Giselle est de retour sur la scène du Palais Garnier après une longue absence. Amandine Albisson, très distribuée, ajoute un nouveau rôle à son répertoire, tandis que Stéphane Bullion retrouve un grand rôle classique après une longue disette.
Un couple surprise, Léonore Baulac et Mathias Heymann, était à l’affiche le 10 avril. La danse de Mathias Heymann est plus brillante que jamais pour sa prise de rôle en Roméo et le partenariat impromptu s’est avéré une grande réussite.
Amandine Albisson et Mathieu Ganio étaient le premier couple à nous faire vivre l’histoire mythique des amants de Vérone dans la reprise du ballet « dramatique » de Noureev.
Deux étoiles parisiennes de stature internationale, Dorothée Gilbert et Mathias Heymann, entourées d’une jeune garde brillante : il ne manquait pas grand chose à la Bayadère du 3 décembre pour être parfaite, juste un soupçon d’alchimie entre Nikiya et Solor.
3ème étage, la troupe “bis” de jeunes talents de l’Opéra menée par Samuel Murez, se produit à l’occasion de galas hors les murs. Retour sur leurs représentations à Neuilly-sur-Seine, avec, en tête d’affiche, le toujours épatant François Alu.