Soirée Jerome Robbins (26 octobre)
La première soirée classique de la saison à Paris mettait à l’honneur Jerome Robbins. Une bien belle façon de retrouver les étoiles de l’Opéra.
La première soirée classique de la saison à Paris mettait à l’honneur Jerome Robbins. Une bien belle façon de retrouver les étoiles de l’Opéra.
La nouvelle série du Lac des Cygnes a vu ses distributions masculines totalement chamboulées. Pas évident dans ces conditions d’offrir un bel écrin à Myriam Ould-Braham qui aborde sa dernière série d’Odette / Odile.
Faute de représentations « en vrai », il faudra se contenter cette année d’une captation de la Bayadère sur la nouvelle plateforme de diffusion de l’Opéra. Distribution multi-étoilée au programme, et en bonus une nomination surprise pour Paul Marque.
Place à un gala très classique consacré à l’héritage de Rudolf Noureev pour le deuxième rendez-vous de la saison à l’Opéra Garnier.
Pour se réconcilier avec l’Opéra après les grèves, rien de tel que Giselle. Retour sur 2 distributions: Dorothée Gilbert/Mathieu Ganio et Amandine Albisson/Hugo Marchand.
Onéguine, le ballet de John Cranko, adaptation du roman en vers de Pouchkine, est repris à Paris pour la quatrième fois depuis 2009. Retour sur 2 distributions : Dorothée Gilbert – Audric Bezard et Laura Hecquet – Stéphane Bullion.
Deux couples d’étoiles, Myriam Ould-Braham / Karl Paquette et Ludmila Pagliero / Mathias Heymann, nous emmènent chacun à leur manière dans une Espagne fantasmée pour un Don Quichotte toujours aussi réjouissant.
Une soirée mixte sous le signe de Stravinsky avec le Sacre du Printemps version Pina Bausch en guise d’apothéose.
Une deuxième distribution de Joyaux, dominée par le duo explosif Valentine Colasante – François Alu et la délicatesse de Myriam Ould-Braham joliment mise en valeur par Germain Louvet.