Soirée Jerome Robbins (26 octobre)
La première soirée classique de la saison à Paris mettait à l’honneur Jerome Robbins. Une bien belle façon de retrouver les étoiles de l’Opéra.
La première soirée classique de la saison à Paris mettait à l’honneur Jerome Robbins. Une bien belle façon de retrouver les étoiles de l’Opéra.
Pour ses retrouvailles avec le public, le Ballet de l’Opéra de Paris célèbre les 10 ans de la disparition de Roland Petit avec 3 titres phares du chorégraphe.
Un Gala d’Ouverture fin janvier pour une saison atypique. Si le traditionnel défilé est un peu déprimant, la belle danse est au rendez-vous, rallumant la flamme même derrière un écran.
Faute de représentations « en vrai », il faudra se contenter cette année d’une captation de la Bayadère sur la nouvelle plateforme de diffusion de l’Opéra. Distribution multi-étoilée au programme, et en bonus une nomination surprise pour Paul Marque.
Place à un gala très classique consacré à l’héritage de Rudolf Noureev pour le deuxième rendez-vous de la saison à l’Opéra Garnier.
Pour se réconcilier avec l’Opéra après les grèves, rien de tel que Giselle. Retour sur 2 distributions: Dorothée Gilbert/Mathieu Ganio et Amandine Albisson/Hugo Marchand.
Mats Ek offre une soirée de danse réjouissante avec un Carmen estival et deux créations.
Deux couples d’étoiles, Myriam Ould-Braham / Karl Paquette et Ludmila Pagliero / Mathias Heymann, nous emmènent chacun à leur manière dans une Espagne fantasmée pour un Don Quichotte toujours aussi réjouissant.
Avec les Joyaux de Balanchine pour ouvrir la saison, c’est une certaine idée de l’apparat qui sied à une grande compagnie classique qui revient au goût du jour.