Soirée Peck – Balanchine (08 juillet)
Clap de fin sur la saison pour moi avec une deuxième vision de la création de Justin Peck et du splendide Brahms-Schoenberg Quartet de Balanchine avec une distribution mêlant jeunes talents et étoiles.
Clap de fin sur la saison pour moi avec une deuxième vision de la création de Justin Peck et du splendide Brahms-Schoenberg Quartet de Balanchine avec une distribution mêlant jeunes talents et étoiles.
Pour sa première saison de Directeur de la Danse, Benjamin Millepied avait « recruté » William Forsythe en tant que chorégraphe associé. Cette collaboration se matérialise par un programme rassemblant trois œuvres du chorégraphe, dont la création d’une nouvelle pièce Blake Works I, un événement chorégraphique qui passe presque inaperçu en cette fin de saison.
Pendant 3 semaines au Théâtre du Chatelet, le New York City Ballet offrira un florilège de ballets de son créateur George Balanchine. Mon premier programme de la série permettait de découvrir 3 pièces chorégraphiées sur des œuvres de Tchaïkovski.
L’héritier Justin Peck côtoie le maître Balanchine dans une soirée haute couture très new-yorkaise qui clôture la saison chorégraphique à l’Opéra Bastille.
L’English National Ballet dirigée par l’ex-étoile du Royal Ballet, Tamara Rojo, a animé le début de l’été au Palais Garnier avec un ballet classique à grand spectacle, le Corsaire. Au menu, évasion, décors et costumes chatoyants, prouesses techniques et sauts défiants les lois de la gravité.
Quatuor majeur pour la dernière distribution de Giselle avec Myriam Ould-Braham, Mathias Heymann, François Alu et Hannah O’Neill.
La prise du rôle de Giselle à Paris marquait pour Ludmila Pagliero le retour dans un grand ballet narratif, aux côtés toujours rassurants de Karl Paquette.
Magnifique prise de rôle pour Hannah O’Neill en Myrtha pour la deuxième apparition du couple Albisson – Bullion.
Giselle est de retour sur la scène du Palais Garnier après une longue absence. Amandine Albisson, très distribuée, ajoute un nouveau rôle à son répertoire, tandis que Stéphane Bullion retrouve un grand rôle classique après une longue disette.