
Soirée Danseurs Chorégraphes (10 mai)
C’est presque en catimini que les danseurs chorégraphes de l’Opéra ont pu proposer une courte série de spectacles en ce deuxième week-end de mai.
C’est presque en catimini que les danseurs chorégraphes de l’Opéra ont pu proposer une courte série de spectacles en ce deuxième week-end de mai.
Avec le printemps, on retrouve toujours avec plaisir l’Ecole de Danse de l’Opéra pour son spectacle annuel: le classicisme d’August Bournonville côtoie une découverte, Continuo d’Antony Tudor, et un grand tube de Béjart, les 7 Danses Grecques.
Deux propositions de danse contemporaine radicalement différentes associées sur la scène de Garnier avec l’Israélienne Sharon Eyal et l’éternel Mats Ek dont est repris l’emblématique Appartement. L’occasion également de faire nos adieux à Ludmila Pagliero.
José Martinez a sorti d’un long sommeil une pièce maîtresse du répertoire et l’une des plus redoutables, la Belle au Bois Dormant. Retour sur une distribution réunissant deux danseurs étoilables à plus ou moins cout terme, Hohyun Kang et Lorenzo Lelli.
Dorothée Gilbert et Hugo Marchand, c’est le duo que les passionnés de danse rêvaient de voir à l’Opéra de Paris, dans Onéguine, un ballet narratif adapté du poème de Pouchkine toujours aussi captivant.
Le Ballet de l’Opéra National d’Ukraine est de retour pour les fêtes au Théâtre des Champs Elysées, pour présenter en France un ballet inédit d’inspiration classique, adapté du conte d’Andersen.
Ines McIntosh et Francesco Mura ont un capital sympathie important. Et il ne fallait pas les manquer pour leur Paquita.
Romanesque et virtuosité au programme de Noël à l’Opéra de Paris avec le retour longtemps attendu du Paquita de Pierre Lacotte.
Deux ans seulement après son entrée au répertoire, Mayerling, le drame historique chorégraphié par Sir Kenneth MacMillan est déjà de retour, offrant la possibilité à Mathieu Ganio de se confronter à nouveau au personnage tourmenté de l’archiduc Rodolphe.