Soirée Peck – Balanchine (02 juillet)
L’héritier Justin Peck côtoie le maître Balanchine dans une soirée haute couture très new-yorkaise qui clôture la saison chorégraphique à l’Opéra Bastille.
L’héritier Justin Peck côtoie le maître Balanchine dans une soirée haute couture très new-yorkaise qui clôture la saison chorégraphique à l’Opéra Bastille.
L’English National Ballet dirigée par l’ex-étoile du Royal Ballet, Tamara Rojo, a animé le début de l’été au Palais Garnier avec un ballet classique à grand spectacle, le Corsaire. Au menu, évasion, décors et costumes chatoyants, prouesses techniques et sauts défiants les lois de la gravité.
Une répétition à l’amphithéâtre Bastille a permis de promouvoir auprès des spectateurs assidus l’entrée au répertoire du ballet de l’Opéra de Paris d’un nouveau Balanchine, un ballet romantique abstrait sur le Brahms – Schoenberg Quartet.
Quatuor majeur pour la dernière distribution de Giselle avec Myriam Ould-Braham, Mathias Heymann, François Alu et Hannah O’Neill.
La prise du rôle de Giselle à Paris marquait pour Ludmila Pagliero le retour dans un grand ballet narratif, aux côtés toujours rassurants de Karl Paquette.
Magnifique prise de rôle pour Hannah O’Neill en Myrtha pour la deuxième apparition du couple Albisson – Bullion.
Giselle est de retour sur la scène du Palais Garnier après une longue absence. Amandine Albisson, très distribuée, ajoute un nouveau rôle à son répertoire, tandis que Stéphane Bullion retrouve un grand rôle classique après une longue disette.
Maguy Marin revient à l’Opéra après une création sous l’ère Noureev pour présenter une pièce créée en 2002, Les Applaudissements ne se mangent pas, un ballet-réflexion sur les sociétés latino-américaines au vingtième siècle marquées par les dictatures militaires.
L’édition 2016 du Spectacle de l’École de Danse associe une pièce de « virtuosité académique » Conservatoire d’Auguste Bournonville à deux courts ballets narratifs néo -classiques, les Forains de Roland Petit et Piège de Lumière de l’américain John Taras.