Pour conclure l’année à l’Opéra Garnier, la soirée mixte sous influence russe promettait de belles réjouissances musicales. Les règles sanitaires drastiques en ont décidé autrement.
Les Ballets de Monte-Carlo présentaient la soirée phare de leur saison au Théâtre des Champs Elysées, un programme hommage à Nijinsky où des chorégraphes d’aujourd’hui réinterprètent quatre ballets phares des Ballets Russes.
Au sein de la très riche programmation de la Philharmonie de Paris, le « week-end » thématique du 21 au 24 octobre était consacré à la danse avec notamment un beau programme Hommage à Nijinski qui invitait le spectateur à un voyage aux sources des Ballets Russes.
Dans l’attente de la rentrée du Ballet de l’Opéra de Paris, le Gala des Etoiles, dérivatif idéal pour les amateurs en mal de danse classique?
Dure saison pour les balletomanes : les adieux de danseurs du Ballet de l’Opéra rattrapés par la limite d’âge de 42 ans se succèdent. Cette année aura vu les départs d’Agnès Letestu, d’Isabelle Ciaravola, de Christophe Duquenne et enfin de l’étoile peut-être la plus emblématique de la maison, Nicolas Le Riche.
Le Boléro hypnotise toujours les spectateurs. Infinie délicatesse au programme pour le duo Mathias Heymann et Myriam Ould-Braham dans Afternoon of a Faun.
Une soirée en hommage aux Ballets Russes, marquée par la création du Boléro de Cherkaoui-Jalet et la très belle interprétation du Faune de Robbins par Emilie Cozette et Stéphane Bullion.