Bel – Millepied –Robbins (07 février)
Le premier programme de 2016 est pour le moins éclectique puisqu’il réunit un des chantres de la non danse, Jérôme Bel, à Benjamin Millepied et Jerome Robbins, qui sont associés pour la 2ème fois de la saison.
Le premier programme de 2016 est pour le moins éclectique puisqu’il réunit un des chantres de la non danse, Jérôme Bel, à Benjamin Millepied et Jerome Robbins, qui sont associés pour la 2ème fois de la saison.
Kiss Me Kate, l’un des fleurons du musical de Broadway de l’après-guerre, porté par les mélodies imparables de Cole Porter, est au Châtelet pour une dizaine de représentations.
Avec la Mégère Apprivoisée, Jean-Christophe Maillot a offert au Bolchoï un classique instantané extrêmement moderne à bien des égards mais s’inscrivant également très respectueusement dans la tradition de la troupe.
Avec From Black to Blue, le Théâtre des Champs Elysées offrait une supposée dernière occasion de voir sur scène des oeuvres de Mats Ek.
Trio royal pour mon dernier ballet de l’année: Kristina Shapran et Kim Kimin, artistes invités du Mariinsky, étaient accompagnés d’Héloïse Bourdon pour une Bayadère de haut vol.
A l’occasion des fêtes de fin d’année, deux « musicals » dans la grande tradition anglo-saxonne se disputent les faveurs du public parisien. Le Théâtre Mogador et Stage Entertainment ont dégainé Cats tandis que le Châtelet propose Singin’ In The Rain. Analyse comparative.
La réunion imprévue du duo Dorothée Gilbert – Hugo Marchand dans la Bayadère s’annonçait prometteuse après une superbe Histoire de Manon au printemps.
Les triple bills se suivent et se ressemblent cette saison à l’Opéra Garnier. Cette troisième mouture réunissant deux entrées au répertoire de Christopher Wheeldon et de Wayne McGregor et la reprise du Sacre du Printemps version Pina Bausch se veut un hommage à Pierre Boulez, un fil conducteur bien ténu.
Deux étoiles parisiennes de stature internationale, Dorothée Gilbert et Mathias Heymann, entourées d’une jeune garde brillante : il ne manquait pas grand chose à la Bayadère du 3 décembre pour être parfaite, juste un soupçon d’alchimie entre Nikiya et Solor.