Les adieux d’Isabelle Ciaravola – Onéguine (28 février)
L’émotion était à son comble pour la sortie d’Isabelle Ciaravola accompagnée d’Hervé Moreau et de Karl Paquette pour ses derniers pas de deux sur la scène de Garnier.
L’émotion était à son comble pour la sortie d’Isabelle Ciaravola accompagnée d’Hervé Moreau et de Karl Paquette pour ses derniers pas de deux sur la scène de Garnier.
Onéguine, le ballet roman parfait de John Cranko, est repris pour la troisième fois à Paris. L’occasion de fêter le talent d’Isabelle Ciaravola, magnifique héroïne, rayonnante au milieu d’une distribution masculine de haut vol.
Pour sa venue à Paris, le Bolchoï n’a pas amené une de ses «superproductions» chorégraphiques mais un ballet dans la veine néo-classique, inspiré du chef d’œuvre de Balzac, Illusions Perdues.
Ce 30 décembre, la passion était au rendez-vous dans le Parc sur la scène de l’Opéra Garnier avec le duo exceptionnel formé par Isabelle Ciaravola et Stéphane Bullion, peut-être pour la dernière fois à l’Opéra à quelques jours des adieux d’Isabelle Ciaravola.
A l’occasion de la matinée Rêve d’Enfant, Ludmila Pagliero et Josua Hoffalt nous ont à nouveau enchantés, avec un partenariat qui s’est encore affiné depuis leur première.
Alice Renavand a été nommée étoile à l’issue de la représentation du Parc du 20 décembre.
Face au classicisme absolu de la Belle au Bois Dormant à l’Opéra Bastille, la scène de Garnier est occupée par le Parc et sa modernité bien tempérée.
Baptême du feu réussi pour Laura Hecquet et Audric Bezard à l’occasion de leur premier grand ballet en 3 actes dans la peau du couple star. Retour sur la matinée du 7 décembre de la Belle au Bois Dormant.
Ludmila Pagliero toujours au top, un beau retour pour Josua Hoffalt dans la luxueuse version Noureev de la Belle au Bois Dormant. Les fêtes de fin d’année ont commencé à l’Opéra.