William Forsythe / Johan Inger (25 octobre)
Pour ce début de saison à l’Opéra, un habitué des programmes de rentrée, William Forsythe, côtoie un chorégraphe inédit pour la maison, Johan Inger.
Pour ce début de saison à l’Opéra, un habitué des programmes de rentrée, William Forsythe, côtoie un chorégraphe inédit pour la maison, Johan Inger.
Marine Ganio et Jack Gasztowtt forment un bien joli duo dans le ballet aux accents champêtres de Frederick Ashton.
La nouvelle série du Lac des Cygnes a vu ses distributions masculines totalement chamboulées. Pas évident dans ces conditions d’offrir un bel écrin à Myriam Ould-Braham qui aborde sa dernière série d’Odette / Odile.
Aurélie Dupont avait donné carte blanche au chorégraphe norvégien Alan Lucien Øyen. Le résultat: Cri de Coeur, un ballet de presque 3 heures et avec très peu de danse, centré sur Marion Barbeau.
Pour ses retrouvailles avec le public, le Ballet de l’Opéra de Paris célèbre les 10 ans de la disparition de Roland Petit avec 3 titres phares du chorégraphe.
Mathieu Ganio, le Siegfried de l’Opéra, rencontre Sae Eun Park, une Odette/Odile virtuose, sous la menace de Jérémy-Loup Quer, Rothbart glaçant.
L’Opéra reprend la Cendrillon de Noureev pour les fêtes de fin d’année. Le conte de fées mis en musique par Prokofiev devient le rêve d’une apprentie actrice dans le Hollywood des années 30.
La saison en cours est résolument contemporaine, et la soirée consacrée à deux chorégraphes américains, Merce Cunningham et William Forsythe, est sans doute la plus exigeante de celles qui nous ont été proposées depuis un an.
L’entrée au répertoire de la fantaisie féérique de George Balanchine est l’occasion de mettre en avant les jeunes talents de la compagnie encadrés par des danseurs expérimentés quelque peu sous-exploités.