Soirée Thierrée / Shechter / Pérez / Pite (24 mai)
Trois créations et une reprise pour un programme contemporain branché à Garnier. Sentiments mitigés.
Trois créations et une reprise pour un programme contemporain branché à Garnier. Sentiments mitigés.
Dans ce programme mixte sous le signe de Ravel, le Daphnis et Chloé de Benjamin Millepied, créé pendant la lune du miel du chorégraphe avec l’Opéra de Paris, est repris avec l’iconique Boléro de Béjart, où Marie-Agnès Gillot commence sa tournée d’adieux.
C’était un peu la création de la saison, un ballet de deux heures commandé au chorégraphe Alexander Ekman pour Noël. Play est-il à la hauteur de l’attente et des ambitions d’Aurélie Dupont?
Une deuxième distribution de Joyaux, dominée par le duo explosif Valentine Colasante – François Alu et la délicatesse de Myriam Ould-Braham joliment mise en valeur par Germain Louvet.
La saison en cours est résolument contemporaine, et la soirée consacrée à deux chorégraphes américains, Merce Cunningham et William Forsythe, est sans doute la plus exigeante de celles qui nous ont été proposées depuis un an.
Le trio Albisson, Ganio et Alu ne sembait pas idéal sur le papier. L’évolution de cette distribution sur une semaine entre la diffusion au cinéma, la matinée Rêve d’Enfants et la soirée du 14 décembre est la parfaite illustration d’un « work in progress ».
Trois étoiles au sommet de leur art sur la scène de l’Opéra Bastille pour un Lac des Cygnes enthousiasmant.
La soirée Balanchine marquait la véritable rentrée des solistes du Ballet de l’Opéra, avec sur scène pas moins de 10 étoiles et 5 premiers danseurs, pour un programme mixte conséquent regroupant quatre oeuvres du maître du New York City Ballet.
Au sein de la très riche programmation de la Philharmonie de Paris, le « week-end » thématique du 21 au 24 octobre était consacré à la danse avec notamment un beau programme Hommage à Nijinski qui invitait le spectateur à un voyage aux sources des Ballets Russes.