Roméo et Juliette – Baptêmes d’étoiles (23 juin)
Sae Eun Park et Paul Marque ont pris brillamment leurs marques d’étoiles, épaulés par une troupe au diapason, dans le ballet théâtral de Noureev.
Sae Eun Park et Paul Marque ont pris brillamment leurs marques d’étoiles, épaulés par une troupe au diapason, dans le ballet théâtral de Noureev.
Une soirée 100% Nederland Dans Theater pour le Ballet de l’Opéra de Paris, pour 53 minutes de danse et moins de vingt danseurs sur scène.
Eléonore Guérineau a remplacé avec beaucoup de cran Myriam Ould-Braham en cours de représentation aux côtés de Josua Hoffalt, brillant Colas.
Pour se sentir en vacances, rien de tel qu’une représentation de la Fille Mal Gardée, un ballet qui sied particulièrement bien aux danseurs de l’Opéra, avec François Alu en amoureux malicieux, Muriel Zusperreguy en paysanne dégourdie et Takeru Coste en mère dragon hilarante.
En ce premier week-end de mai, la scène de l’opéra Garnier fait figure d’oasis ensoleillée avec ses toiles peintes figurant l’Espagne pittoresque où se déroule l’intrigue de Paquita. Laura Hecquet étrenne avec panache son titre d’étoile, sublimée par Karl Paquette. Hannah O’Neill, simple sujet, fait preuve de beaucoup de cran aux côtés d’un Mathias Heymann toujours incroyable à voir danser.
Première représentation d’étoile pour Laura Hecquet entre Audric Bezard, partenaire idéal, et Stéphane Bullion en Wolfgang/Rothbart névrosé.
Au fil des distributions de ce Casse-Noisette de Noël, l’Opéra de Paris se découvre un réservoir prometteur de princes de ballet, derrière un chef de fil incontestable, Mathieu Ganio. En lice, Germain Louvet et Hugo Marchand.
Quand les danseurs de l’Opéra de Paris dansent Rain d’Anne Teresa De Keersmaeker, c’est très beau et un peu long, mais Léonore Baulac illumine la scène de sa présence.