Casse-Noisette – entre magie et angoisse (11 décembre)
9 ans après la dernière reprise, une nouvelle génération de danseurs s’approprie le Casse-Noisette de Rudolf Noureev, une version dont la magie s’est un peu érodée.
9 ans après la dernière reprise, une nouvelle génération de danseurs s’approprie le Casse-Noisette de Rudolf Noureev, une version dont la magie s’est un peu érodée.
Le Ballet de l’Opéra National de Kiev présentait une production très classique du Casse-Noisette traditionnel des fêtes de fin d’année au Théâtre des Champs Elysées. Une simplicité, transcendée par la joie de danser d’une troupe talentueuse.
Ballet des fêtes de fin d’année par excellence, Casse-Noisette devance l’appel avec la version proposée par le Ballet National de Chine qui pose ses valises le temps des vacances d’automne à la Seine Musicale.
Spectacle total sur la scène de Garnier avec la réunion de deux oeuvres Tchaïkovski, un opéra Iolanta et un ballet Casse-Noisette, sous la houlette d’un metteur en scène inspiré Dmitri Tcherniakov.
Un coin du voile se lève sur le nouveau Casse-Noisette de l’Opéra de Paris chorégraphié par Arthur Pita, Edouard Lock et Sidi Larbi Cherkaoui, dans le cadre d’une soirée associant opéra et ballet orchestrée par le scénographe Dmitri Tcherniakov.
Au fil des distributions de ce Casse-Noisette de Noël, l’Opéra de Paris se découvre un réservoir prometteur de princes de ballet, derrière un chef de fil incontestable, Mathieu Ganio. En lice, Germain Louvet et Hugo Marchand.
Matinée caritative de Casse-Noisette de haute volée pour Dorothée Gilbert et Mathieu Ganio.
Pour la première de Casse-Noisette, c’est à Dorothée Gilbert et Mathieu Ganio que revenait le redoutable honneur de raviver la magie de ce ballet féérique, emblématique de l’ère Noureev.