Cri de Cœur – Alan Lucien Øyen (24 septembre)
Aurélie Dupont avait donné carte blanche au chorégraphe norvégien Alan Lucien Øyen. Le résultat: Cri de Coeur, un ballet de presque 3 heures et avec très peu de danse, centré sur Marion Barbeau.
Aurélie Dupont avait donné carte blanche au chorégraphe norvégien Alan Lucien Øyen. Le résultat: Cri de Coeur, un ballet de presque 3 heures et avec très peu de danse, centré sur Marion Barbeau.
Pour conclure une courte saison, la soirée Jeunes Danseurs permet de donner du temps de scène aux nouvelles recrues de la compagnie ainsi qu’aux artistes les plus prometteurs du corps de ballet.
L’Opéra reprend la Cendrillon de Noureev pour les fêtes de fin d’année. Le conte de fées mis en musique par Prokofiev devient le rêve d’une apprentie actrice dans le Hollywood des années 30.
Une prometteuse soirée consacrée à Jerome Robbins sonnait l’heure de la rentrée pour les étoiles parisiennes, alors que le Défilé permettait de dire adieu prématurément à Josua Hoffalt et de se préparer psychologiquement au départ de Karl Paquette.
Clap de fin sur la saison pour moi avec une deuxième vision de la création de Justin Peck et du splendide Brahms-Schoenberg Quartet de Balanchine avec une distribution mêlant jeunes talents et étoiles.
La très courte série de soirées Ratmansky – Robbins – Balanchine – Peck est un nouveau volet du parcours dans l’histoire de la danse classique américaine que Benjamin Millepied a dessiné au cours des deux saisons qu’il a programmées.
La soirée Jeunes Danseurs au programme conçu comme un bilan de l’ère Brigitte Lefèvre a un peu oublié son objectif premier, la mise en valeur des jeunes talents du ballet de l’Opéra de Paris.