Soirée Jeunes Danseurs (18 avril)
La soirée Jeunes Danseurs au programme conçu comme un bilan de l’ère Brigitte Lefèvre a un peu oublié son objectif premier, la mise en valeur des jeunes talents du ballet de l’Opéra de Paris.
La soirée Jeunes Danseurs au programme conçu comme un bilan de l’ère Brigitte Lefèvre a un peu oublié son objectif premier, la mise en valeur des jeunes talents du ballet de l’Opéra de Paris.
La compagnie de Thierry Malandain présente du 09 au 18 avril sur la scène du Théâtre National de Chaillot une relecture contemporaine de Cendrillon.
Place aux petits rats pour le spectacle annuel de l’école de danse de l’Opéra de Paris. Ils nous ont démontré leurs talents: virtuosité technique, poésie, capacité à faire passer l’émotion, esprit de troupe.
A revoir ou à découvrir, Marco Spada, la reconstruction par Pierre Lacotte du ballet de Joseph Mazilier, dansé par le Bolchoï dans la distribution exceptionnelle de sa première.
Deux destins tragiques de deux jeunes filles à la fin du XIXème siècle pour la soirée Cullberg / De Mille : à la reconstitution un peu pesante d’une cause célèbre américaine, on pourra préférer Mlle Julie, adaptation percutante de la pièce de Strindberg.
Si l’on apprécie le genre, la 2ème édition du Gala des Etoiles au Palais des Congrès était une soirée plutôt réussie. Le plus des représentations du 1er et du 2 mars était la présence sur scène du directeur artistique de la tournée, Manuel Legris.
L’émotion était à son comble pour la sortie d’Isabelle Ciaravola accompagnée d’Hervé Moreau et de Karl Paquette pour ses derniers pas de deux sur la scène de Garnier.
Onéguine, le ballet roman parfait de John Cranko, est repris pour la troisième fois à Paris. L’occasion de fêter le talent d’Isabelle Ciaravola, magnifique héroïne, rayonnante au milieu d’une distribution masculine de haut vol.
Pour sa venue à Paris, le Bolchoï n’a pas amené une de ses «superproductions» chorégraphiques mais un ballet dans la veine néo-classique, inspiré du chef d’œuvre de Balzac, Illusions Perdues.