Soirée Balanchine – Teshigawara – Bausch (26 octobre)
Une soirée mixte sous le signe de Stravinsky avec le Sacre du Printemps version Pina Bausch en guise d’apothéose.
Une soirée mixte sous le signe de Stravinsky avec le Sacre du Printemps version Pina Bausch en guise d’apothéose.
Avec les Joyaux de Balanchine pour ouvrir la saison, c’est une certaine idée de l’apparat qui sied à une grande compagnie classique qui revient au goût du jour.
Amandine Albisson a vu sa carrière décoller avec la Sylphide, et Hugo Marchand a été nommé étoile au pays du Soleil Levant avec le rôle de James, le hobereau écossais envoûté par la mystérieuse créature. Ils étaient réunis dans la première distribution du dernier classique de la saison.
30 minutes de scène, de vrais décors, de belles lumières et des distributions étoilées : la soirée consacrée aux danseurs chorégraphes de l’Opéra de Paris était une formidable opportunité pour Sébastien Bertaud, Simon Valastro, Bruno Bouché et Nicolas Paul de présenter leur travail.
L’entrée au répertoire de la fantaisie féérique de George Balanchine est l’occasion de mettre en avant les jeunes talents de la compagnie encadrés par des danseurs expérimentés quelque peu sous-exploités.
Le trio Albisson, Ganio et Alu ne sembait pas idéal sur le papier. L’évolution de cette distribution sur une semaine entre la diffusion au cinéma, la matinée Rêve d’Enfants et la soirée du 14 décembre est la parfaite illustration d’un « work in progress ».
Le plaisir de la danse au rendez-vous de la première soirée de la saison dominée par le Défilé du Ballet et la création de Crystal Pite, The Seasons’ Canon.
Clap de fin sur la saison pour moi avec une deuxième vision de la création de Justin Peck et du splendide Brahms-Schoenberg Quartet de Balanchine avec une distribution mêlant jeunes talents et étoiles.
Quatuor majeur pour la dernière distribution de Giselle avec Myriam Ould-Braham, Mathias Heymann, François Alu et Hannah O’Neill.