La Dame aux Camélias – Baulac / Ganio (7 décembre)
Un couple inédit pour la 6ème reprise du ballet roman de John Neumeier à Paris et une soirée en demi-teinte.
Un couple inédit pour la 6ème reprise du ballet roman de John Neumeier à Paris et une soirée en demi-teinte.
Une prometteuse soirée consacrée à Jerome Robbins sonnait l’heure de la rentrée pour les étoiles parisiennes, alors que le Défilé permettait de dire adieu prématurément à Josua Hoffalt et de se préparer psychologiquement au départ de Karl Paquette.
L’entrée au répertoire de la fantaisie féérique de George Balanchine est l’occasion de mettre en avant les jeunes talents de la compagnie encadrés par des danseurs expérimentés quelque peu sous-exploités.
Quand des chaînes à péage (la française Canal + et l’américaine HBO) s’emparent de la danse, cela donne des documentaires assez différents des formats habituels.
Les triple bills se suivent et se ressemblent cette saison à l’Opéra Garnier. Cette troisième mouture réunissant deux entrées au répertoire de Christopher Wheeldon et de Wayne McGregor et la reprise du Sacre du Printemps version Pina Bausch se veut un hommage à Pierre Boulez, un fil conducteur bien ténu.
Pour l’ouverture de sa première saison pilotée entièrement en solo, Benjamin Millepied a choisi une programmation qui est le reflet de son cheminement personnel. Sa nouvelle création côtoie des oeuvres de Balanchine et Robbins pour une soirée d’inspiration new- yorkaise.
Un bien sympathique dimanche après-midi au Figuier Blanc à Argenteuil pour suivre Karl Paquette et de jeunes danseurs de l’Opéra dans une sélection de grands pas classiques.