Casse-Noisette – entre magie et angoisse (11 décembre)
9 ans après la dernière reprise, une nouvelle génération de danseurs s’approprie le Casse-Noisette de Rudolf Noureev, une version dont la magie s’est un peu érodée.
9 ans après la dernière reprise, une nouvelle génération de danseurs s’approprie le Casse-Noisette de Rudolf Noureev, une version dont la magie s’est un peu érodée.
La première soirée classique de la saison à Paris mettait à l’honneur Jerome Robbins. Une bien belle façon de retrouver les étoiles de l’Opéra.
Encore une Manon différente dans son approche du rôle avec Sae Eun Park, face à Marc Moreau, Des Grieux toujours aussi passionné.
Benjamin Millepied s’offre une plage de respiration au Théâtre des Champs Elysées avec un spectacle intimiste sous forme d’autoportraits croisés du pianiste Alexandre Tharaud et de lui-même.
Coup de coeur de fin de saison pour cette distribution inattendue réunissant Ludmila Pagliero et Marc Moreau. C’est pour vivre ce genre d’émotions que l’on va à l’Opéra.
Myriam Ould-Braham aborde tardivement dans sa carrière le rôle de Manon, aux côtés de Mathieu Ganio, Des Grieux expérimenté. Un duo harmonieux pour une Histoire de Manon plutôt sage par rapport à l’aspect excessif du ballet de Kenneth MacMilllan.
La co-production entre le Royal Ballet et l’Opéra de Paris, inspirée par la Divine Comédie, avec son équipe artistique 5 étoiles, arrive enfin à Paris plus d’un an après sa création à Londres.
Trois oeuvres majeures de Maurice Béjart sont présentées à Bastille, permettant de faire briller les solistes de la compagnie.
Hommage à l’ancienne Directrice de l’Ecole de Danse pour une soirée mêlant documentaire et danse avec des extraits de pièce chères à Claude Bessy et le Concerto en Ré chorégraphié par ses soins.