Le Lac des Cygnes – Park/Ganio/Quer (8 mars)
Mathieu Ganio, le Siegfried de l’Opéra, rencontre Sae Eun Park, une Odette/Odile virtuose, sous la menace de Jérémy-Loup Quer, Rothbart glaçant.
Mathieu Ganio, le Siegfried de l’Opéra, rencontre Sae Eun Park, une Odette/Odile virtuose, sous la menace de Jérémy-Loup Quer, Rothbart glaçant.
Eleonora Abbagnato et Stéphane Bullion offrent un grand moment de théâtre et de danse dans le ballet roman de John Neumeier.
L’Opéra reprend la Cendrillon de Noureev pour les fêtes de fin d’année. Le conte de fées mis en musique par Prokofiev devient le rêve d’une apprentie actrice dans le Hollywood des années 30.
Une soirée mixte sous le signe de Stravinsky avec le Sacre du Printemps version Pina Bausch en guise d’apothéose.
Avec les Joyaux de Balanchine pour ouvrir la saison, c’est une certaine idée de l’apparat qui sied à une grande compagnie classique qui revient au goût du jour.
Soirée consacrée à Maurice Ravel à l’Opéra, réunissant La Valse chorégraphiée par George Balanchine, En Sol de Jerome Robbins, et l’une des dernières créations de l’ère Brigitte Lefèvre, le Boléro revisité par Sidi Larbi Cherkaoui et Damien Jalet.
L’entrée au répertoire de la fantaisie féérique de George Balanchine est l’occasion de mettre en avant les jeunes talents de la compagnie encadrés par des danseurs expérimentés quelque peu sous-exploités.
Trois étoiles au sommet de leur art sur la scène de l’Opéra Bastille pour un Lac des Cygnes enthousiasmant.
Du drame pour la deuxième journée du concours avec les défaillances de Letizia Galloni et Héloïse Bourdon, et 3 promotions, Camille Bon, Alice Catonnet et Sae Eun Park qui s’inscrivent dans la continuité des choix de la veille.