Hiroshi Sugimoto / William Forsythe (27 septembre)
Coup d’envoi de la nouvelle saison raté avec une création du plasticien Hiroshi Sugimoto qui laisse dubitatif et la reprise de Blake Works I de Forsythe en demi-teinte.
Coup d’envoi de la nouvelle saison raté avec une création du plasticien Hiroshi Sugimoto qui laisse dubitatif et la reprise de Blake Works I de Forsythe en demi-teinte.
Suite du festival Le Paris de la Danse avec un gala les Italiens de l’Opéra et les « Stars of American Ballet ».
Eleonora Abbagnato et Stéphane Bullion offrent un grand moment de théâtre et de danse dans le ballet roman de John Neumeier.
Un couple inédit pour la 6ème reprise du ballet roman de John Neumeier à Paris et une soirée en demi-teinte.
Une prometteuse soirée consacrée à Jerome Robbins sonnait l’heure de la rentrée pour les étoiles parisiennes, alors que le Défilé permettait de dire adieu prématurément à Josua Hoffalt et de se préparer psychologiquement au départ de Karl Paquette.
Stéphane Bullion trouve avec Onéguine le rôle de la maturité. Son duo avec Laura Hecquet inaugure un partenariat dramatique prometteur. Paul Marque, quant à lui, impose une personnalité d’interprète, en plus du brillant de sa danse.
Le traditionnel concours avec son suspens, ses coups du sort et ses polémiques s’est fait attendre cette saison. Déplacé de novembre à mars, il reste un des sommets dans l’agenda du balletomane qui se respecte.
Onéguine, le ballet de John Cranko, adaptation du roman en vers de Pouchkine, est repris à Paris pour la quatrième fois depuis 2009. Retour sur 2 distributions : Dorothée Gilbert – Audric Bezard et Laura Hecquet – Stéphane Bullion.
Une soirée mixte sous le signe de Stravinsky avec le Sacre du Printemps version Pina Bausch en guise d’apothéose.