Soirée Thierrée / Shechter / Pérez / Pite (24 mai)
Trois créations et une reprise pour un programme contemporain branché à Garnier. Sentiments mitigés.
Trois créations et une reprise pour un programme contemporain branché à Garnier. Sentiments mitigés.
Stéphane Bullion trouve avec Onéguine le rôle de la maturité. Son duo avec Laura Hecquet inaugure un partenariat dramatique prometteur. Paul Marque, quant à lui, impose une personnalité d’interprète, en plus du brillant de sa danse.
C’était un peu la création de la saison, un ballet de deux heures commandé au chorégraphe Alexander Ekman pour Noël. Play est-il à la hauteur de l’attente et des ambitions d’Aurélie Dupont?
Amandine Albisson a vu sa carrière décoller avec la Sylphide, et Hugo Marchand a été nommé étoile au pays du Soleil Levant avec le rôle de James, le hobereau écossais envoûté par la mystérieuse créature. Ils étaient réunis dans la première distribution du dernier classique de la saison.
30 minutes de scène, de vrais décors, de belles lumières et des distributions étoilées : la soirée consacrée aux danseurs chorégraphes de l’Opéra de Paris était une formidable opportunité pour Sébastien Bertaud, Simon Valastro, Bruno Bouché et Nicolas Paul de présenter leur travail.
L’entrée au répertoire de la fantaisie féérique de George Balanchine est l’occasion de mettre en avant les jeunes talents de la compagnie encadrés par des danseurs expérimentés quelque peu sous-exploités.
Du drame pour la deuxième journée du concours avec les défaillances de Letizia Galloni et Héloïse Bourdon, et 3 promotions, Camille Bon, Alice Catonnet et Sae Eun Park qui s’inscrivent dans la continuité des choix de la veille.
Clap de fin sur la saison pour moi avec une deuxième vision de la création de Justin Peck et du splendide Brahms-Schoenberg Quartet de Balanchine avec une distribution mêlant jeunes talents et étoiles.
L’héritier Justin Peck côtoie le maître Balanchine dans une soirée haute couture très new-yorkaise qui clôture la saison chorégraphique à l’Opéra Bastille.