Pour conclure l’année à l’Opéra Garnier, la soirée mixte sous influence russe promettait de belles réjouissances musicales. Les règles sanitaires drastiques en ont décidé autrement.
Une soirée mixte sous le signe de Stravinsky avec le Sacre du Printemps version Pina Bausch en guise d’apothéose.
Au sein de la très riche programmation de la Philharmonie de Paris, le « week-end » thématique du 21 au 24 octobre était consacré à la danse avec notamment un beau programme Hommage à Nijinski qui invitait le spectateur à un voyage aux sources des Ballets Russes.