Soirée Balanchine (15 novembre)
Retour sur la dernière incursion en 2016 du ballet de l’Opéra de Paris chez Balanchine en attendant le Songe d’une Nuit d’Eté et la Valse en 2017.
Retour sur la dernière incursion en 2016 du ballet de l’Opéra de Paris chez Balanchine en attendant le Songe d’une Nuit d’Eté et la Valse en 2017.
Le plaisir de la danse au rendez-vous de la première soirée de la saison dominée par le Défilé du Ballet et la création de Crystal Pite, The Seasons’ Canon.
Pour sa première saison de Directeur de la Danse, Benjamin Millepied avait « recruté » William Forsythe en tant que chorégraphe associé. Cette collaboration se matérialise par un programme rassemblant trois œuvres du chorégraphe, dont la création d’une nouvelle pièce Blake Works I, un événement chorégraphique qui passe presque inaperçu en cette fin de saison.
Un couple surprise, Léonore Baulac et Mathias Heymann, était à l’affiche le 10 avril. La danse de Mathias Heymann est plus brillante que jamais pour sa prise de rôle en Roméo et le partenariat impromptu s’est avéré une grande réussite.
Le cœur du balletomane parisien va battre plus vite et plus fort à partir du 19 mars, pendant un petit mois, au rythme de la reprise d’une des productions les plus appréciées de l’ère Noureev, son Roméo et Juliette. Avant-goût de la distribution « jeunes talents » avec Léonore Baulac et Germain Louvet.
3ème étage, la troupe “bis” de jeunes talents de l’Opéra menée par Samuel Murez, se produit à l’occasion de galas hors les murs. Retour sur leurs représentations à Neuilly-sur-Seine, avec, en tête d’affiche, le toujours épatant François Alu.
Des concours qui se suivent et se ressemblent malheureusement pour Héloïse Bourdon. L’exercice annuel a permis de conforter les orientations de Benjamin Millepied en terme de distribution, à l’exception notable de Letizia Galloni.
Intéressante soirée contemporaine à l’Opéra avec trois oeuvres de la chorégraphe belge Anne Teresa De Keersmaeker, une soirée dominée par l’intensite poético-romantique de la Nuit Transfigurée.
Pour l’ouverture de sa première saison pilotée entièrement en solo, Benjamin Millepied a choisi une programmation qui est le reflet de son cheminement personnel. Sa nouvelle création côtoie des oeuvres de Balanchine et Robbins pour une soirée d’inspiration new- yorkaise.