
Soirée Peck – Balanchine (08 juillet)
Clap de fin sur la saison pour moi avec une deuxième vision de la création de Justin Peck et du splendide Brahms-Schoenberg Quartet de Balanchine avec une distribution mêlant jeunes talents et étoiles.
Clap de fin sur la saison pour moi avec une deuxième vision de la création de Justin Peck et du splendide Brahms-Schoenberg Quartet de Balanchine avec une distribution mêlant jeunes talents et étoiles.
La très courte série de soirées Ratmansky – Robbins – Balanchine – Peck est un nouveau volet du parcours dans l’histoire de la danse classique américaine que Benjamin Millepied a dessiné au cours des deux saisons qu’il a programmées.
Spectacle total sur la scène de Garnier avec la réunion de deux oeuvres Tchaïkovski, un opéra Iolanta et un ballet Casse-Noisette, sous la houlette d’un metteur en scène inspiré Dmitri Tcherniakov.
Les triple bills se suivent et se ressemblent cette saison à l’Opéra Garnier. Cette troisième mouture réunissant deux entrées au répertoire de Christopher Wheeldon et de Wayne McGregor et la reprise du Sacre du Printemps version Pina Bausch se veut un hommage à Pierre Boulez, un fil conducteur bien ténu.
Intéressante soirée contemporaine à l’Opéra avec trois oeuvres de la chorégraphe belge Anne Teresa De Keersmaeker, une soirée dominée par l’intensite poético-romantique de la Nuit Transfigurée.
Laetitia Pujol et Mathieu Ganio jouent la carte de la grande passion romantique, dans une distribution 5 étoiles où figurent Stéphane Bullion, Alice Renavand et Benjamin Pech.
La soirée Paul/Rigal/Lock, complétée par une création de Benjamin Millepied, remplit le créneau annuel de l’Opéra du programme mixte contemporain tendance. On en ressort un peu groggy, malgré une concentration importante d’étoiles sur scène.
Un documentaire revient sur la carrière de Brigitte Lefèvre et plus particulièrement sur sa dernière année à la tête du Ballet de l’Opéra de Paris .
Retour en photos sur la représentation du 8 juillet de Notre Dame de Paris.